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Quelle petite entreprise créer ?

Vous avez pour ambition d’ouvrir votre petite entreprise, mais vous ne savez pas encore quel statut choisir? Voici en fonction de leur taille et de leur chiffre d’affaires, les différents types de petites entreprises pouvant être créées. Attention, le montant du chiffre d’affaire peut varier d’un Etat à un autre.

Les TPE ou micro-entreprises

Suivant le regroupement des entreprises en fonction de leur taille et leur chiffre d’affaires, les très petites entreprises (TPE) ou encore micro-entreprises occupent le bas de l’échelle.

Il s’agit des entreprises qui comptent un nombre total de salariés inférieur à 10. Aussi, elles comptabilisent un bilan ou un chiffre d’affaires annuel ne dépassant pas les deux millions d’euros.

Les petites et moyennes entreprises (PME)

Plus grandes que les micro-entreprises, les PME sont des sociétés qui emploient entre 10 et 250 salariés. Concernant leurs performances, ces dernières réalisent des chiffres d’affaire annuels PME plafonnés à 50 millions d’euros. A défaut, elles font des bilans annuels inférieurs à 43 millions.  

Selon les caractéristiques de votre future structure, vous avez à présent une bonne idée de la catégorie d’entreprises à laquelle elle appartient. Cependant, il vous reste de découvrir quelle forme juridique convient généralement pour les petites entreprises

La forme juridique des petites entreprises

La forme juridique d’une entreprise définit le régime fiscal auquel cette dernière est soumise. Il convient donc de poser le choix d’une forme juridique en se référant aux contraintes fiscales qu’elle impose et de ce fait opter pour le plus avantageux. On peut distinguer cinq principales formes.

Les PME sont le plus généralement enregistrées ou crées sous la forme de sociétés de capitaux. Elles fonctionnent soit sous le régime de Sociétés à responsabilité limitée (SARL) ou de sociétés à actions simplifiées (SAS).

Pour les très petites entreprises (micro-entreprises), les régimes correspondants sont :

  • L’entreprise individuelle (EI) ;
  • L’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL) ;
  • L’entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL).

La différence entre ces trois formes se situe au niveau du nombre d’entrepreneurs qui composent la structure et des impositions. Elles peuvent être appliquées sur le revenu personnel et/ou les bénéfices de la société.

Les 3 étapes à suivre pour créer une petite entreprise